Saint-Sulpice-La-Pointe, du grain à moudre !

Nos élus majoritaires sont isolés et coupés de leurs concitoyens,  mais les 12 persistent à se maintenir avec une certaine « bonne conscience » assumée pour certains : « « ce qui compte c’est qu’on arrive à mener à terme notre projet municipal », sic, Mme Rondi dans la dernière édition du Tarn libre ;

Les agents de la Collectivité ne travaillent pas dans la sérénité et craignent l’arbitraire : depuis le début de la mandature,  limogeage d’un DGS, d’un Directeur de cabinet et d’un Directeur de l’aménagement et des travaux, sans compter les départs volontaires des agents vers d’autres collectivités…

Les associations, particulièrement celles en lien avec la culture depuis la démission de Denis Radou – aucun des 11 élus majoritaires restant n’a le profil pour assumer la délégation « Culture » - manquent de visibilité et s’inquiètent pour l’avenir et le dialogue n’est pas simple avec la Collectivité ;

Le poids de Saint-Sulpice au sein de l’intercommunalité est insignifiant et les élus communautaires non saint-sulpiciens retiennent leurs souffles dans l’attente d’un nouvel rebondissement à Saint-Sulpice : notre commune est décrédibilisée.

La stratégie des deux groupes d'opposition est incompréhensible et permet à la situation de perdurer en l'état.

A Saint-Sulpice donc, nos 12 élus majoritaires se maintiennent sans complexe. Sens du devoir ou…  plutôt surestimation personnelle, aveuglement et / ou stratégie politicienne – Saint-Sulpice compte dans la stratégie du PS sur le territoire - ? Quand on sait que presque les 2/3 de l’équipe Rondi ont démissionné et qu’on nous avait garanti une gouvernance et des élus exemplaires, il y a de quoi  s’interroger ! Nos 12 élus « providentiels » se sentent-ils missionnés ? Mais par qui ? Les électeurs ont voté pour une équipe et un projet, et ils n’ont plus ni l’un, ni l’autre !

dgam